Si il y a bien une phrase qui est gravée en moi depuis très longtemps :
« Vis comme si tu devais mourir demain. Apprends comme si tu devais vivre toujours. » de Gandhi.
Cet été, je l’ai appliquée plus que jamais auparavant. Au total, j’ai fait les vendanges pour la première fois, pris des cours de couture, d’écriture, de broderie et de poterie grâce à la plateforme wecandoo.
En effet le temps de 3h avec Jonas dans le 19ème à Paris, j’ai appris à faire un petit bol blanc en céramique.
Tout d’abord j’ai appris à découper la terre et la peser pour avoir la dose nécessaire pour l’objet que je devais faire.
Puis il a fallu apprendre à utiliser le tour. La pédale à doser comme celle d’une machine à coudre.
Et faire plusieurs essais avec une première mise en main instinctive qui n’était pas la bonne.
Faire le bon jeté du morceau de terre sur le tour pour qu’il soit bien fixé.
L’ajout de l’eau.
La mise en place des mains et le changement progressif pour obtenir le forme que l’on souhaite.
Voilà au final pendant les 2 heures, avec l’aide précieuse de Jonas, ce que nous avons pu réaliser.
Mes ongles ont été un vrai handicap. Voici donc mon conseil que j’aurais aimé avoir avant de commencer, si vous devez prendre des cours de poteries, coupez bien vos ongles avant.
Lorsque j’ai voulu creuser et lisser l’intérieur de mon bol la pointe de mon ongle a trop creusé la surface.
Il a fallu attendre le séchage + les vacances et que Jonas fasse cuire le bol.
Enfin j’ai pu récupérer mon bol quelques semaines plus tard. La satisfaction de réaliser soit même quelques chose est énorme. On réalise aussi le temps qu’il faut pour faire un objet fait main et le savoir faire que ça représente.
L’expérience de la poterie restera l’activité qui m’a le plus donnée envie de recommencer. Suivi de près par la broderie pour laquelle j’ai déjà acheté du tissu.
Si vous aussi vous êtes tentés de prendre des cours, le site wecandoo en propose plein et l’avantage c’est qu’ils sont donnés par de vrais artisans passionnés ! Voici le lien de l’atelier poterie que j’ai fait de Jonas.